Découvrez les finalistes 2024 : SoFluffy

novembre 7, 2024 Finalistes

Helen Yau est la fondatrice de SoFluffy, une pâtisserie japonaise située à Genève visant l’insertion professionnelle et sociale des femmes.

Qui êtes-vous ?

Originaire de Hong-Kong, je suis venue m’établir à Genève il y a trente ans. Après l’obtention du diplôme de la maturité au collège Rousseau, j’ai effectué un diplôme en bachelor en informatique pour les sciences humaines à l’Université de Genève.

Curieuse de nature, j’ai exercé des métiers très différents, comme cheffe de rang dans la restauration, agente de voyage, créatrice de sites internet. Je suis actuellement directrice des opérations au sein d’une société médicale. Toutes ces expériences m’ont permis de développer des compétences transversales que je souhaite partager en lançant SoFluffy.

Trois mots pour vous définir ?

Pragmatique, résiliente, persévérante.

Pourquoi souhaitez-vous être entrepreneuse ?

Je souhaite appliquer et mieux faire connaître l’entrepreneuriat social.

A quel besoin répond votre projet ?

SoFluffy est un projet social et solidaire pour promouvoir l’insertion professionnelle et sociale des femmes, et prioritairement des victimes de violences conjugales.

Quel impact visez-vous grâce au projet ?

Ce projet, proposé sous-forme de confection et de vente de « Fluffy cake », sert de tremplin pour permettre aux personnes de suivre des stages / formations concrètes et variées dans des domaines différents (production, vente, administration, communication, multimédia, gérance de magasin) afin de leur faciliter l’accès à l’emploi et l’intégration sociale, et finalement retrouver une autonomie financière durable.

Pourquoi vous êtes-vous inscrite au Prix IDDEA ?

Les différentes séances de coaching / formations proposés par le Prix IDDEA m’ont non seulement permis de mieux structurer mon projet à l’état actuel, mais m’ont également aidé à mieux planifier les prochaines étapes. Sur le plan financier, après cinq mois d’exploitation du SoFluffy Pastry Shop à Genève, je me rends compte que le chiffre d’affaires généré ne suffit pas pour démarrer le côté social du projet ; l’un des soutiens financiers du Prix IDDEA serait donc bénéfique pour la suite.




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